Je referme à l'instant la page de présentation des profils du site comédien.be.
Et je me pose vraiment beaucoup de questions. Sur moi-même. ( Ce qui donnera encore de la matière à ceux qui crachent sur les blogs en prétendant qu'ils ne sont que le reflet d'un narcissisme conscient ou non ! )
Je referme cette page donc, et je me demande ce que je fous de ma vie en ce moment. Ce qui vaut vraiment la peine d'être vécu dans les jours que je passe les uns après les autres et que j'ai pas mal de problèmes à affronter. Comme si je ne trouvais plus vraiment de positif.
J'ai pas de boulot avant novembre, je suis seul chez moi. Je range interminablement mon petit univers qui ne correspond pas à ce que je voudrais qu'il soit. Et malgré que j'écoute les musiques qui me plaisent, et que je ne demande rien à personne pour rêver, j'arrive pas à croire en la vie.
C'est très bête comme constat, mais, je suis perdu. Perdu face à moi-même. Je me suis fait larguer il y a deux semaines par un garçon que j'étais persuadé d'aimer. Simplement parce qu'il me pensais volage, simplement parce qu'il s'est fait son film tout seul dans sa tête... Simplement parce qu'il n'arrivait pas à m'octroyer sa confiance. Et à défaut d'avoir vécu la chose comme la catastrophe émotionnelle qu'elle était dans mon petit coeur, je me suis contenté de rester froid, digne, fort et bien entendu, j'ai géré la "crise" avec un flegme tout à fait épatant. Et maintenant je me sens terriblement seul. Triste.
Qu'est-ce qui fait que je ne me sens jamais en confiance dans mon milieu professionnel ? Qu'est-ce qui m'oblige toujours et encore à essayer de trouver une personnalité qui n'est pas la mienne pour affronter les discussions avec les autres ? Qu'est-ce qui me pousse tout le temps à me dévaluer par rapport à ce que vivent les autres ? Pourquoi suis-je celui à qui on dit qu'il est chiant quand il s'énerve parce qu'on l'a interrompu dans une conversation ? Et qu'est-ce qui me rend pourtant dingue là-dedans, au point que j'aie envie de me lever et de partir ? Et pourquoi je ne le fais finalement pas ? Est-il normal de trouver les gens aussi futiles autour de moi ? Qu'est-ce qui m'empêche de ressentir une putain de satisfaction dans les relations humaines que j'ai déjà tellement de mal à accumuler ? Pourquoi je me dis constamment qu'on ne m'emploie pas assez professionnellement ? Qu'est-ce que je pourrais bien faire pour que cela arrive ? Je me ronge les sangs...
J'ai envie d'avancer. Je ne veux pas me retrouver à quarante ans avec une carrière qui n'en est pas une, un niveau de vie pitoyable. Je n'ai aucune envie de me forcer à faire croire à tout le monde que je vis des choses merveilleuses dans des projets formidables, simplement parce qu'il faut garder la face. J'en ai marre de lutter contre mon sentiment profond parce qu'il pourrait "nuire" aux relations potentielles avec les gens qui pourraient m'employer ! Le monde entier fait cela tout le temps. Personne ne dit jamais ce qu'il pense. Et je suis certain que même à leurs psy, les gens ne racontent pas encore la vérité.
En fait j'aimerais que les choses soient simples. Je voudrais arrêter de me dire : Wouaw, lui il a vraiment une vie incroyable par rapport à moi. ( D'autant, qu'après analyse, c'est rarement vrai ! )
Je crois que je deviens fou, en fait. Je vois mes connaissances se marier, et je les trouve pathétiques. ( Ce n'est pas vrai pour toutes, évidemment ! )
J'ai envie de hurler : "Bande de cons qui suivez le petit modèle bien établi de la vie comme il faut, dans le monde comme il faut, et qui vous contentez des séries télévisées dans lesquelles on vous montre ce que vous vivrez à votre tour dans dix ans..." Je les trouve juste pathétiques. Tristes et pitoyables... Et même cela, j'ai l'impression que je n'ai pas le droit de le penser.
J'en ai marre de voir les mauvaises personnes aux mauvaises places.
Je suis seul, et ça, ça rend dingue !
Wednesday, May 21, 2008
Mister YOU ? Miss YOU, oui...
Qui a dit qu'on allait pas s'amuser à l'élection de Mister You, dimanche 18 juin ?
Je suis ravi d'avoir été y assister, et d'avoir pu ainsi côtoyer ce que Bruxelles et sa région comptent de plus élégant, de plus éclectique mais aussi de plus surprenant et effrayant en matière d'individus humains...
Pour les critères de votes, on repassera. Et si l'on sait tous pertinemment que le passage le plus intéressant d'une élection c'est celui où les candidats sont en sous-vêtements, on n'était pas forcé de nous le coller directement après le premier passage... Surtout qu'après, il n'y a plus rien eu du tout, puisque le jury a "délibéré" ! ( Moi, quand la question de savoir qui est le plus beau se pose, je n'appelle pas cela délibérer, mais fantasmer... quoi que dans ce cas-ci ! )
L'heureux gagnant, repartira avec son chèque cadeau chez SN Brussels Airlines tout comme ses deux dauphins... Mais quelle mauvaise idée de faire élire les deux dauphins sur base d'un dernier passage des candidats éconduits une première fois par la victoire du gagnant, en se basant sur le taux d'applaudissement ! Je crois que c'est la choses la plus humiliante à laquelle il m'a été permis d'assister... 9 garçons, marchant une dernière fois sur ce plateau de défilé, tour à tour applaudis à grands tabats, ou alors lynchés par les huées !!! Incroyablement cruel.
Mais ce qui restera à retenir de cette soirée, et de fait bien plus incroyablement cruel, c'est que personne n'aura dit à la jeune fille de la photo ci-dessus qu'elle s'était trompée d'endroit pour arborer ainsi vulgairement son paquet d'un kilo cinq-cents...
Qui a dit que le monde gay était méchant ?
Moi, je dirais juste qu'il est méchnatE ! Gna Aaah Aaaah Aaaaaah !
Sunday, May 18, 2008
Pluvieuse, mais loin d'être malheureuse !
Certes, on ne se le répètera jamais assez : Espérer une journée ensoleillée pour l'annuel défilé de la Gay Pride bruxelloise est cause perdue !
Pourtant, la journée reste l'incontournable rendez-vous des gays et lesbiennes, militants ou non, modérés ou non, beaux ou non, originaux ou non... Et ce n'est pas une bonne grosse "drache" belge qui pourra arrêter les camions bourrés de gens se trémoussant au son des beats endiablés de la techno ( Toujours de très bonne qualité, ça va sans dire ! ).
Parcours sinueux, cette année, puisque les trucks ont du se faufiler au coeur du coeur du coeur du centre de la capitale, trainant derrière eux la masse de "sottes" toutes plus hystériques les unes que les autres. Et voir un trois tonnes bondé, arrivant de la place Rouppe pour tourner depuis le coin de la rue du Midi en direction de celle du Lombard, ça reste impressionnant.
Petite déception : l'équipe de Chez Maman ne défilait pas cette année. Fort dommage, car la Mère et ses filles sont toujours sublîmes, glamourissimales et rappellent aux badaux que le transformisme à aussi des vertus émerveillantes. ( Qui a dit que j'y allais un peu fort ? Venez, on en discute ! )
Par contre le point très très positif : l'organisation du "Pride village" au sein même des rues gaies... au lieu du sempiternel vismet qui faisait généralement fuir tout le monde dès la fin du défilé, les années précédentes.
Une organisation assez bien réfléchie, puisque les échoppes des associations et des bars, mêlées à celles des vendeurs de frites, donnaient à la journée des airs de fête communales charmants. Voir les locaux se mêler aux drag-queens, et les butchs lesbiennes pousser les mêmes landeaux que les petits couples hétéros sur les pavés de la rue du Marché au Charbon faisait vraiment plaisir à voir !
L'eau froide tombant du ciel à toute berzingue n'empêchant nullement les torses nus de rester visibles, les perruques de rester arrimées sur les têtes, et les talons hauts de claquer dans les ruelles.
Place de choix pour observer l'animation, j'étais justement chez un ami dont la vitre du salon donne sur la rue du Marché au Charbon ! Impeccable pour observer les allers et venues des passants, sans mouiller ses vêtements. Petit paquet de frites à l'abri et coucous sympas aux voisins gays d'en-face, ravis de voir que les locataires à la sexualité divergente de la rue étaient en plus grand nombre qu'on ne pouvait se l'imaginer !
Et aujourd'hui, je danse sur les rythmes de la bande originale de "Xanadu-The Musical", que mon pote Philou m'a ramené des Etats Unis !
Rendez-vous le 28 juin à Paris pour voir les Mary Poppins sisters défiler dans la lumière ! Venez nous prendre en photo !
Pourtant, la journée reste l'incontournable rendez-vous des gays et lesbiennes, militants ou non, modérés ou non, beaux ou non, originaux ou non... Et ce n'est pas une bonne grosse "drache" belge qui pourra arrêter les camions bourrés de gens se trémoussant au son des beats endiablés de la techno ( Toujours de très bonne qualité, ça va sans dire ! ).
Parcours sinueux, cette année, puisque les trucks ont du se faufiler au coeur du coeur du coeur du centre de la capitale, trainant derrière eux la masse de "sottes" toutes plus hystériques les unes que les autres. Et voir un trois tonnes bondé, arrivant de la place Rouppe pour tourner depuis le coin de la rue du Midi en direction de celle du Lombard, ça reste impressionnant.
Petite déception : l'équipe de Chez Maman ne défilait pas cette année. Fort dommage, car la Mère et ses filles sont toujours sublîmes, glamourissimales et rappellent aux badaux que le transformisme à aussi des vertus émerveillantes. ( Qui a dit que j'y allais un peu fort ? Venez, on en discute ! )
Par contre le point très très positif : l'organisation du "Pride village" au sein même des rues gaies... au lieu du sempiternel vismet qui faisait généralement fuir tout le monde dès la fin du défilé, les années précédentes.
Une organisation assez bien réfléchie, puisque les échoppes des associations et des bars, mêlées à celles des vendeurs de frites, donnaient à la journée des airs de fête communales charmants. Voir les locaux se mêler aux drag-queens, et les butchs lesbiennes pousser les mêmes landeaux que les petits couples hétéros sur les pavés de la rue du Marché au Charbon faisait vraiment plaisir à voir !
L'eau froide tombant du ciel à toute berzingue n'empêchant nullement les torses nus de rester visibles, les perruques de rester arrimées sur les têtes, et les talons hauts de claquer dans les ruelles.
Place de choix pour observer l'animation, j'étais justement chez un ami dont la vitre du salon donne sur la rue du Marché au Charbon ! Impeccable pour observer les allers et venues des passants, sans mouiller ses vêtements. Petit paquet de frites à l'abri et coucous sympas aux voisins gays d'en-face, ravis de voir que les locataires à la sexualité divergente de la rue étaient en plus grand nombre qu'on ne pouvait se l'imaginer !
Et aujourd'hui, je danse sur les rythmes de la bande originale de "Xanadu-The Musical", que mon pote Philou m'a ramené des Etats Unis !
Rendez-vous le 28 juin à Paris pour voir les Mary Poppins sisters défiler dans la lumière ! Venez nous prendre en photo !
Tuesday, May 13, 2008
Une irrésistible envie de lire Têtu !
Ou comment le mensuel dont j'attendais la sortie avec impatience, est devenu au fil des ans le magazine qui traine sur le carrelage des w.c. !
Car ayant pourtant toujours défendu le canard devant ceux qui me rétorquaient qu'en le lisant je n'étais qu'un sale petit pédé de gauche conforme et bien comme il faut, je suis forcé d'admettre que depuis quelque temps, son contenu me laisse chaque fois plus perplexe.
Est-ce simplement cela qu'on appelle vieillir ? Ou bien ai-je raison de croire que les articles de fond font de moins en moins acte de présence ?
Certes, j'adore lire une bonne série de potins sur la vie de mes icônes gay favorites, mais j'ai l'impression étrange que la futilité à subrepticement remplacé le militantisme modéré qui me plaisait tant au débuts de la parution… Aujourd’hui, les articles sur la personnalité gay semblent se résumer à de drôlissimes tests sur l’influence des couleurs ou des marques de vêtements que l’on porte et les pages « histoire » prennent un peu la poussière des personnalités dont elles traitent.
Et que penser du totalitarisme publicitaire ?
Je suis abonné, et je ne compte pas mettre un terme à mon abonnement actuellement, mais je reconnais que j’hésite fort à faire suivre… Ce n'est pas de la révolte, car je suis persuadé que le format actuel de la revue plait énormément à une tranche de public. Je me rends simplement compte que je n'en fais plus partie. Et comme Têtu a participé à la "construction" de ma personnalité homo, j'en suis un peu tristounet...
Toujours est-il que « J’ai envie de lire Têtu » est devenu la forme amusante pour dire « Je dois aller aux toilettes »… Ce qui amuse énormément les amis de passage dans mon appartement !
Et tant que ça fait rire, ça ne mange pas de pain...
Car ayant pourtant toujours défendu le canard devant ceux qui me rétorquaient qu'en le lisant je n'étais qu'un sale petit pédé de gauche conforme et bien comme il faut, je suis forcé d'admettre que depuis quelque temps, son contenu me laisse chaque fois plus perplexe.
Est-ce simplement cela qu'on appelle vieillir ? Ou bien ai-je raison de croire que les articles de fond font de moins en moins acte de présence ?
Certes, j'adore lire une bonne série de potins sur la vie de mes icônes gay favorites, mais j'ai l'impression étrange que la futilité à subrepticement remplacé le militantisme modéré qui me plaisait tant au débuts de la parution… Aujourd’hui, les articles sur la personnalité gay semblent se résumer à de drôlissimes tests sur l’influence des couleurs ou des marques de vêtements que l’on porte et les pages « histoire » prennent un peu la poussière des personnalités dont elles traitent.
Et que penser du totalitarisme publicitaire ?
Je suis abonné, et je ne compte pas mettre un terme à mon abonnement actuellement, mais je reconnais que j’hésite fort à faire suivre… Ce n'est pas de la révolte, car je suis persuadé que le format actuel de la revue plait énormément à une tranche de public. Je me rends simplement compte que je n'en fais plus partie. Et comme Têtu a participé à la "construction" de ma personnalité homo, j'en suis un peu tristounet...
Toujours est-il que « J’ai envie de lire Têtu » est devenu la forme amusante pour dire « Je dois aller aux toilettes »… Ce qui amuse énormément les amis de passage dans mon appartement !
Et tant que ça fait rire, ça ne mange pas de pain...
Monday, May 12, 2008
Ce que je fuis le plus !
Voici mon résultat obtenu au quizz : "Que fuyez-vous le plus ?" de facebook.
Réponse : L'échec !
Mon profil dominant : Battant
Le travail et l’action sont les moteurs de votre vie.
Vous vous estimez infatigable, et vous êtes insatiable de résultats positifs.
Organisation, prévision, partage, création sont pour vous les valeurs de toute personne courageuse, qui « sait comment vivre » pour réussir.
Vous supportez difficilement les moments vides, synonymes d’ennui.
Vous êtes positif, avec un moral constant et, pour vous, il n’y a jamais de problèmes : il n’y a que des solutions !
Vous avez une rare faculté d’adaptation.
Cependant, vous êtes déstabilisé quand on vous demande ce que vous pensez de vous-même ou des autres. En fait, vous vous identifiez à ce que vous faites – et non à ce que vous êtes. Enfant, vous avez probablement été récompensé pour vos actes, valorisé pour vos actions. Mais vos parents ne parlaient pas de vous en tant que personne : vous en avez conclu que, pour être aimé, il faut réussir. Points forts et limites
Qualité principale : la capacité de réussite.
Motivation principale : être reconnu pour ce que vous faites.
Tendance positive : l’authenticité. Lorsqu’un battant évolue, il devient capable d’être vrai, d’exprimer ce qu’il est vraiment.
Tendance négative : la tromperie. Pour éviter les échecs, vous pouvez user de subterfuges, de mensonges, de tous les moyens pour réussir ce que vous entreprenez.
Mécanismes de défense : vous avez développé un mécanisme d’identification à ce qu’on attend de vous. Autrement dit, vous vous conformez souvent à un rôle.
Difficultés majeures : être obligé de donner en permanence le meilleur de vous-même. Vous comparer sans cesse aux autres. Vivre spontanément et simplement.
Vos principes relationnels : vous investissez beaucoup pour être accepté par les autres. Vous soignez votre image. Vous portez tant d’importance à vos activités qu’il vous arrive de négliger votre vie affective.
Ce que les autres apprécient en vous : votre capacité d’action, votre endurance au travail, votre engagement professionnel, votre assurance.
Ce que vous devez améliorer : le calme intérieur (par la méditation, par exemple). L’authenticité.
Comment les autres peuvent agir avec vous : éviter les épanchements affectifs trop voyants. Cultiver l’optimisme. Vous avez besoin d’être félicité pour votre travail.
Si vous y retrouvez ce que vous connaissez de moi, ou pas du tout, n'hésitez pas à laisser vos commentaires !
Réponse : L'échec !
Mon profil dominant : Battant
Le travail et l’action sont les moteurs de votre vie.
Vous vous estimez infatigable, et vous êtes insatiable de résultats positifs.
Organisation, prévision, partage, création sont pour vous les valeurs de toute personne courageuse, qui « sait comment vivre » pour réussir.
Vous supportez difficilement les moments vides, synonymes d’ennui.
Vous êtes positif, avec un moral constant et, pour vous, il n’y a jamais de problèmes : il n’y a que des solutions !
Vous avez une rare faculté d’adaptation.
Cependant, vous êtes déstabilisé quand on vous demande ce que vous pensez de vous-même ou des autres. En fait, vous vous identifiez à ce que vous faites – et non à ce que vous êtes. Enfant, vous avez probablement été récompensé pour vos actes, valorisé pour vos actions. Mais vos parents ne parlaient pas de vous en tant que personne : vous en avez conclu que, pour être aimé, il faut réussir. Points forts et limites
Qualité principale : la capacité de réussite.
Motivation principale : être reconnu pour ce que vous faites.
Tendance positive : l’authenticité. Lorsqu’un battant évolue, il devient capable d’être vrai, d’exprimer ce qu’il est vraiment.
Tendance négative : la tromperie. Pour éviter les échecs, vous pouvez user de subterfuges, de mensonges, de tous les moyens pour réussir ce que vous entreprenez.
Mécanismes de défense : vous avez développé un mécanisme d’identification à ce qu’on attend de vous. Autrement dit, vous vous conformez souvent à un rôle.
Difficultés majeures : être obligé de donner en permanence le meilleur de vous-même. Vous comparer sans cesse aux autres. Vivre spontanément et simplement.
Vos principes relationnels : vous investissez beaucoup pour être accepté par les autres. Vous soignez votre image. Vous portez tant d’importance à vos activités qu’il vous arrive de négliger votre vie affective.
Ce que les autres apprécient en vous : votre capacité d’action, votre endurance au travail, votre engagement professionnel, votre assurance.
Ce que vous devez améliorer : le calme intérieur (par la méditation, par exemple). L’authenticité.
Comment les autres peuvent agir avec vous : éviter les épanchements affectifs trop voyants. Cultiver l’optimisme. Vous avez besoin d’être félicité pour votre travail.
Si vous y retrouvez ce que vous connaissez de moi, ou pas du tout, n'hésitez pas à laisser vos commentaires !
Tuesday, May 06, 2008
Just believe and your dreams will come true ! Are you sure ?
Some pixie dust is just the start !
Once upon a time is forever and the day !
Parfois on a un peu du mal à "believe" in ses "dreams" !
Et je dois dire que, même si je m'attendais un peu à ce qu'ils m'annoncent qu'ils ne me suivraient pas dans l'aventure du voyage que je veux organiser pour fêter mes 30 ans l'an prochain à Disney World Orlando, j'espérais malgré tout intérieurement que la réponse de mes amis serait un "- Oui, finalement on a réfléchi, et on part tous ensemble"...
Je ne suis pas du tout fâché, car je me rends bien compte que le budget de ce voyage de 12 jours représente une sacrée somme. Comment pourrais-je leur en vouloir de ne pas être certain d'assurer financièrement, ou les obliger à faire un voyage qui ne les motive pas complètement ? Je comprends parfaitement leurs réticences.
Mais au au fond de moi, je dois bien l'admettre, je suis vraiment triste. Juste triste. Et pas tant de leur réponse négative, mais à cause de cette foutue loi de la frustration universelle. Parfois, je me demande si j'ai pas pêché le mauvais canard à la foire, un jour ?!
J'avais tout imaginé, tout calculé au plus près du porte-monnaie pour qu'aucune dépense inutile ne soit à craindre. Pour que les billets d'avions soient au prix le plus bas... Seulement tout cela demande qu'on réserve au moins onze mois à l'avance. Et visiblement, c'est ce qui pose le problème.
Je crosi que je vais donc m'organiser mon voyage de mon côté.
Et un peu moins me persuader que les gens sont prêts à vivre mes rêves avec moi aux moments où ils sont dans MA tête... puisqu'à priori, ce sont les miens et que c'est MA tête !
Elle est où cette foutue PIXIE DUST, hein ?
J'veux voir la "Dreams Come True Parade", moi, merde !
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