Mais pourquoi y a-t-il donc si peu d'arôme framboise sur les glaçons-fusées que l'on trouve aujourd'hui dans les rayons des supermarchés ?
Moi, la framboise c'est la partie que j'ai toujours préférée et j'aimerais avoir une explication claire !
Avant, si je me souviens bien, l'ordre des couleurs variait d'un sachet de glaçon à l'autre, et on avait quelque fois la chance de trouver un "Rocket" dont la base ( Partie la plus grande ! ) était parfumée à la framboise... Ô joie de l'attente, et surtout de la consommation abusive de ce délicieux met à seule fin de trouver ces spécimen tant convoités.
Or, de nos jours, tous les glaçons sont composés pareillement.
Alors je pousse un cri !
Pourquoi une telle ségrégation des goûts et couleurs ?
Saturday, June 18, 2005
Thursday, June 16, 2005
Ras le OUI ! Plein le NON...
Au secouuuuuuuuuuurs !
Lâchez-nous avec ce foutu referendum sur le traité constitutionnel européen en France. Le français s'est positionné, alors une fois pour toutes, arrêtez de tergiverser. Avançons dans la construction de l'avenir...
Et puis de grâce, cessez de constamment vouloir donner la parole au peuple en toute circonstance sous couvert de "respect de la démocratie". La démocratie ce ne sont pas les manifestations dans les rues. La démocratie, c'est l'individu qui se rend compte de l'importance de sa voix lors d'une élection et qui marque son choix pour élire ceux par qui il souhaite être représenté.
Seulement le vote non-obligatoire, et mal émis de surcroît, ne sert pas un peuple auquel les politiciens n'ont fait que répéter que les failles de leurs politiques étaient dues au grand "E" de l'Europe.
D'autant que de toute manière, le français ne vote pas POUR quelque chose, il vote CONTRE une autre. ( La pauvre petite dame aux airs de grande locutrice qui s'exprimait librement cet après-midi sur RTL dans "Vous avez la parole" en se targant d'être pour l'Europe, l'a bien démontré, avouant avoir tout de même voté NON pour "Donner une bonne leçon à nos politiques !"... Mais vos politiques ne vous avaient rien demandé de la sorte, Madame ! Ils ne faisaient que vous interroger sur l'ouverture et la structure nouvelle de l'Europe. )
Et maintenant, ça se bat aux terrasses des tabacs à coup de cannettes de bière ( Tiens, pourquoi justement cette boisson ? ) entre partisans du OUI et du NON.
Et le désert avance...
Lâchez-nous avec ce foutu referendum sur le traité constitutionnel européen en France. Le français s'est positionné, alors une fois pour toutes, arrêtez de tergiverser. Avançons dans la construction de l'avenir...
Et puis de grâce, cessez de constamment vouloir donner la parole au peuple en toute circonstance sous couvert de "respect de la démocratie". La démocratie ce ne sont pas les manifestations dans les rues. La démocratie, c'est l'individu qui se rend compte de l'importance de sa voix lors d'une élection et qui marque son choix pour élire ceux par qui il souhaite être représenté.
Seulement le vote non-obligatoire, et mal émis de surcroît, ne sert pas un peuple auquel les politiciens n'ont fait que répéter que les failles de leurs politiques étaient dues au grand "E" de l'Europe.
D'autant que de toute manière, le français ne vote pas POUR quelque chose, il vote CONTRE une autre. ( La pauvre petite dame aux airs de grande locutrice qui s'exprimait librement cet après-midi sur RTL dans "Vous avez la parole" en se targant d'être pour l'Europe, l'a bien démontré, avouant avoir tout de même voté NON pour "Donner une bonne leçon à nos politiques !"... Mais vos politiques ne vous avaient rien demandé de la sorte, Madame ! Ils ne faisaient que vous interroger sur l'ouverture et la structure nouvelle de l'Europe. )
Et maintenant, ça se bat aux terrasses des tabacs à coup de cannettes de bière ( Tiens, pourquoi justement cette boisson ? ) entre partisans du OUI et du NON.
Et le désert avance...
Friday, June 10, 2005
C'est fait !
Terminé.
Au revoir les amygdales gonflées et surtout gonflantes...
Je suis entré à la clinique Saint Joseph de Senlis vers 07h30, hier matin. Les couloirs étaient très calmes à cette heure de la journée, et une sympathique infirmière m'a indiqué la chambre que j'allais occuper.
( N° 122 ) Une petite prise de tension ( Normale ) et de température ( Anormalement basse : 34.5 C° ) avant de me donner la combinaison de mousseline à enfiler quand je serais prêt à partir pour le bloc opératoire ( Et tout nu, s'il vous plait ! ) puis elle m'a dit qu'elle viendrait me prémédiquer à 09h00.
Petite discussion avec maman, et à 09h00 j'étais tout nu sous ma tunique bleue, chaussons verts aux pieds et bonnet blanc sur la tête. Un petit cachet avalé, et me voilà partant vers une sensation d'apaisement total, au point de ne plus avoir envie de parler ni d'écouter... Le brancardier est arrivé et surprise, alors que je devais entrer en salle d'opération à 10h30, il m'avertit que le docteur avait de l'avance.
Tout allait donc aller plus vite que prévu.
Je suis parti allongé sur mon lit, poussé par ce chouette gars qui me parlait, puis je suis arrivé dans la salle des poses de perfusions. ( Alors, ça par contre, quand c'est la première fois, je peux vous dire que c'est douloureux... Et la gentille demoiselle à beau eu me dire de respirer fort, j'ai vu des étoiles ! ) A côté de mon lit, une dame se faisait perfuser également par une jeune infirmière en plein examen, sous l'oeil attentif de ses inspectrices. Malheureusement pour elle, la jeune infirmière ne trouvait pas la veine... Un petit bonjour de mon ORL, et me revoilà parti. On me change de table, et l'anesthésiste me transfère la perfusion. " Voilà j'ai mis le liquide anesthésiant ; vous allez vous endormir, d'accord ? "... Juste le temps de dire oui, de regarder une dernière seconde la grande lampe à 9 ampoules, et puis plus rien...
Ou du moins jusqu'à ce que mes yeux se rouvrent à 18h00 dans la chambre verte que j'avais trouvée comme point de départ. Mon père et ma soeur devant moi, attendant patiemment mon réveil.
Pas de douleur violente. Juste une désagréable sensation d'incapacité vocale et un inconfort dans les genoux. ( Car vu ma couleur de peau en sortant du bloc, les infirmières avaient préféré relever le bout de mon lit pour éviter toute chute de tension. )
J'ai mis quelques instants à me réveiller complètement, puis je me suis relevé pour "communiquer", mais c'est surtout ma soeur qui a parlé. Elle m'a expliqué qu'elle était déjà passée vers 12h00 lorsque je venais de sortir de la salle d'opération et que je lui avais fait bonjour de la main, que j'avais dit que tout allait bien, que je m'étais relevé pour me moucher et que j'avais demandé qu'on baisse le matelas au niveau de mes pieds. Seulement de tout cela, je n'en ai AUCUN souvenir. En rigolant, elle m'a encore dit que j'avais envoyé balader ma mère du regard lorsqu'elle s'était permise de me mettre en garde avant de me moucher, et que je m'étais plains de la douleur que me faisait mon bacster de manière très théâtrale. ( Un grand "Ouille ouille ouille", mot que je n'utilise jamais. ) Bref, j'étais dans ce faux réveil post-opératoire, où visiblement l'esprit est conscient mais pas le corps. J'ai passé une nuit en observation après avoir avalé un délicieux repas-purée et deux anti-douleur, et je suis revenu à la maison de Chamant pour entamer ma convalscence. C'est parti pour dix jours de silence presque total...
Y'en a qui vont apprécier !
Au revoir les amygdales gonflées et surtout gonflantes...
Je suis entré à la clinique Saint Joseph de Senlis vers 07h30, hier matin. Les couloirs étaient très calmes à cette heure de la journée, et une sympathique infirmière m'a indiqué la chambre que j'allais occuper.
( N° 122 ) Une petite prise de tension ( Normale ) et de température ( Anormalement basse : 34.5 C° ) avant de me donner la combinaison de mousseline à enfiler quand je serais prêt à partir pour le bloc opératoire ( Et tout nu, s'il vous plait ! ) puis elle m'a dit qu'elle viendrait me prémédiquer à 09h00.
Petite discussion avec maman, et à 09h00 j'étais tout nu sous ma tunique bleue, chaussons verts aux pieds et bonnet blanc sur la tête. Un petit cachet avalé, et me voilà partant vers une sensation d'apaisement total, au point de ne plus avoir envie de parler ni d'écouter... Le brancardier est arrivé et surprise, alors que je devais entrer en salle d'opération à 10h30, il m'avertit que le docteur avait de l'avance.
Tout allait donc aller plus vite que prévu.
Je suis parti allongé sur mon lit, poussé par ce chouette gars qui me parlait, puis je suis arrivé dans la salle des poses de perfusions. ( Alors, ça par contre, quand c'est la première fois, je peux vous dire que c'est douloureux... Et la gentille demoiselle à beau eu me dire de respirer fort, j'ai vu des étoiles ! ) A côté de mon lit, une dame se faisait perfuser également par une jeune infirmière en plein examen, sous l'oeil attentif de ses inspectrices. Malheureusement pour elle, la jeune infirmière ne trouvait pas la veine... Un petit bonjour de mon ORL, et me revoilà parti. On me change de table, et l'anesthésiste me transfère la perfusion. " Voilà j'ai mis le liquide anesthésiant ; vous allez vous endormir, d'accord ? "... Juste le temps de dire oui, de regarder une dernière seconde la grande lampe à 9 ampoules, et puis plus rien...
Ou du moins jusqu'à ce que mes yeux se rouvrent à 18h00 dans la chambre verte que j'avais trouvée comme point de départ. Mon père et ma soeur devant moi, attendant patiemment mon réveil.
Pas de douleur violente. Juste une désagréable sensation d'incapacité vocale et un inconfort dans les genoux. ( Car vu ma couleur de peau en sortant du bloc, les infirmières avaient préféré relever le bout de mon lit pour éviter toute chute de tension. )
J'ai mis quelques instants à me réveiller complètement, puis je me suis relevé pour "communiquer", mais c'est surtout ma soeur qui a parlé. Elle m'a expliqué qu'elle était déjà passée vers 12h00 lorsque je venais de sortir de la salle d'opération et que je lui avais fait bonjour de la main, que j'avais dit que tout allait bien, que je m'étais relevé pour me moucher et que j'avais demandé qu'on baisse le matelas au niveau de mes pieds. Seulement de tout cela, je n'en ai AUCUN souvenir. En rigolant, elle m'a encore dit que j'avais envoyé balader ma mère du regard lorsqu'elle s'était permise de me mettre en garde avant de me moucher, et que je m'étais plains de la douleur que me faisait mon bacster de manière très théâtrale. ( Un grand "Ouille ouille ouille", mot que je n'utilise jamais. ) Bref, j'étais dans ce faux réveil post-opératoire, où visiblement l'esprit est conscient mais pas le corps. J'ai passé une nuit en observation après avoir avalé un délicieux repas-purée et deux anti-douleur, et je suis revenu à la maison de Chamant pour entamer ma convalscence. C'est parti pour dix jours de silence presque total...
Y'en a qui vont apprécier !
Wednesday, June 08, 2005
Jour J - 1 !!!
Et voilà... On y est.
Je rentre en clinique demain pour me faire enfin retirer les amygdales.
J'avoue : maintenant que c'est tout proche, j'appréhende un peu le déroulement de la journée qui m'attend ! En même temps, je ne suis pas le premier à qui ça arrive, donc je reste dans les limites de mon calme, tout anésthésié que je suis à l'avance par une super sinusite que j'ai choppée il y a deux jours.
Ce que c'est que de se balader dans les rues de Paris en T-shirt après une première journée chaude !
Anne Bancroft est décédée hier d'un cancer, dans sa chambre d'hôpital aux Etats-Unis. C'est triste, et j'ai eu un pincement au coeur en l'apprenant aux journal de 13h aujourd'hui... Cette comédienne drôlissime et surtout poignante à souhait, qui était l'épouse de Mel Brooks, va manquer aux écrans et à la scène ! ( Admirable dans "Le lauréat" avec Dustin Hoffmann mais aussi dans "Torch Song Trilogy" en mère juive de Harvey Fierstein. )
J'ai hâte d'être dans dix jours...
Non seulement parce que ma convalescence sera terminée, mais également parce que je pourrai me remettre en recherche active de travail. Il faut absolument que je me trouve quelque chose à faire pour juillet car le loyer sera là en début de mois et que je ne vais déjà pas pouvoir bosser en juin, vu la présentation finale de l'école Richard Cross et les jours de repos imposés par l'opération.
Je rentre en clinique demain pour me faire enfin retirer les amygdales.
J'avoue : maintenant que c'est tout proche, j'appréhende un peu le déroulement de la journée qui m'attend ! En même temps, je ne suis pas le premier à qui ça arrive, donc je reste dans les limites de mon calme, tout anésthésié que je suis à l'avance par une super sinusite que j'ai choppée il y a deux jours.
Ce que c'est que de se balader dans les rues de Paris en T-shirt après une première journée chaude !
Anne Bancroft est décédée hier d'un cancer, dans sa chambre d'hôpital aux Etats-Unis. C'est triste, et j'ai eu un pincement au coeur en l'apprenant aux journal de 13h aujourd'hui... Cette comédienne drôlissime et surtout poignante à souhait, qui était l'épouse de Mel Brooks, va manquer aux écrans et à la scène ! ( Admirable dans "Le lauréat" avec Dustin Hoffmann mais aussi dans "Torch Song Trilogy" en mère juive de Harvey Fierstein. )
J'ai hâte d'être dans dix jours...
Non seulement parce que ma convalescence sera terminée, mais également parce que je pourrai me remettre en recherche active de travail. Il faut absolument que je me trouve quelque chose à faire pour juillet car le loyer sera là en début de mois et que je ne vais déjà pas pouvoir bosser en juin, vu la présentation finale de l'école Richard Cross et les jours de repos imposés par l'opération.
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