Comment ça, "Cendrillon, ce macho" a du succès ?
Vous voulez rire ? Maintenant on dit : phénomène de société ! LOL
Je ne serais d'ailleurs pas étonné qu'Hasbro demande tout prochainement les droits sur le merchandising pour les reproductions de nos personnages en figurines de latex !
Les représentations sont prolongées jusqu'au 31 janvier 2009, et plus aucune place n'est disponible avant la période de prolongation...
Et après avoir défrayé la chronique sur RTL-TVi dans le Face à Face, amusé les spectateurs de "50 degrés Nord" et fait la joie des animateurs radio de "Bang Bang" et "(a retrouver)", voilà que le Journal Télévisé de 13 heures de la Rtbf réclamait à son tour un passage de notre équipe sur son plateau !
Au vu des évènements politiques historiques actuels se déroulant au sein de notre capitale, on est en droit de trouver cela incroyable qu'entre deux salves de prises d'images pour les reportages en direct du Palais Royal, les journalistes de la Rtbf soient tout de même passés filmer trente cinq minutes du spectacle pour monter le sujet du journal de Thierry Belfroid !
On était très détendus et tout sourires, Sébastien, Frédéric et moi en entrant dans le studio. Une aubaine de faire le 13 heures du 23 décembre, question audimat ! ( Qui a dit "- Moi je l'ai fait à la Toussaint, c'était pas mal non plus !" ? ) Un petit 5 minutes d'antenne. Peut-être un peu trop rapide pour pouvoir dire tout ce qu'on aurait eu envie... Mais, l'important c'est que les images soient passées, que le présentateur était ravi de nous recevoir et que ce petit moment télé fait exploser les lignes de réservations de tickets pour les prochaines dates de représentations.
Noël, c'est demain. Mais je connais une équipe de comédiens qui est en train de le vivre tous les soirs depuis bientôt trois semaines. Et c'est en grande partie grâce à vous !
Meilleurs voeux !
Tuesday, December 23, 2008
Monday, December 15, 2008
De la difficulté de faire passer correctement les idées sur le net...
Belle leçon pour moi que celle qui m'arrive !
Il faut dire qu'avec le côté impulsif à la con du Bélier que je suis, je fais parfois table rase de toute précaution, pour foncer tête la première dans le vif des sujets qui préoccupent les instants mêmes où je rédige les posts de mon blog... Grand mal m'en a pris, l'autre jour. Et je viens à l'instant de supprimer le dernier "envoi" que j'avais fait, tant il pouvait prêter à confusion.
Heureusement, les bonnes personnes sont là, aux moments où il le faut pour vous avertir.
On a tendance à se refermer sur soi-même dans les périodes de down et à focaliser sur le côté sombre de notre vie. Et l'on est quelque fois tellement dans l'instant présent, qu'on en oublie qu'une situation-référence personnelle précise dont on rédige l'humeur noir sur blanc, ne sera pas forcément celle qui résonnera à l'esprit des gens qui nous lisent.
J'aimerais présenter mes excuses aux partenaires de l'équipe du projet dans lequel je joue actuellement qui, par une méprise certes -mais dont je suis très majoritairement responsable !- ont pu être blessés par des propos visant à décrire une généralité ne les concernant aucunement et que j'aurais du m'appliquer à développer avec plus de déontologie et de précision.
Mea culpa, je le sais. Je regrette déjà amèrement l'esquisse du sentiment de malaise que la mauvaise interprétation d'un billet lancé sur simple saute d'humeur a pu ne serait-ce qu'initier dans vos esprits et celui de notre groupe.
Vous et le projet êtes justement la bouffée d'oxygène ( Et un peu de Co2 tout de même, hein ! Lol )dans le marasme de mes petits jours pas toujours évident à gérer...
J'ai hâte de vous retrouver pour mieux vous expliquer.
Rien ne vaut le réelle communication.
Il faut dire qu'avec le côté impulsif à la con du Bélier que je suis, je fais parfois table rase de toute précaution, pour foncer tête la première dans le vif des sujets qui préoccupent les instants mêmes où je rédige les posts de mon blog... Grand mal m'en a pris, l'autre jour. Et je viens à l'instant de supprimer le dernier "envoi" que j'avais fait, tant il pouvait prêter à confusion.
Heureusement, les bonnes personnes sont là, aux moments où il le faut pour vous avertir.
On a tendance à se refermer sur soi-même dans les périodes de down et à focaliser sur le côté sombre de notre vie. Et l'on est quelque fois tellement dans l'instant présent, qu'on en oublie qu'une situation-référence personnelle précise dont on rédige l'humeur noir sur blanc, ne sera pas forcément celle qui résonnera à l'esprit des gens qui nous lisent.
J'aimerais présenter mes excuses aux partenaires de l'équipe du projet dans lequel je joue actuellement qui, par une méprise certes -mais dont je suis très majoritairement responsable !- ont pu être blessés par des propos visant à décrire une généralité ne les concernant aucunement et que j'aurais du m'appliquer à développer avec plus de déontologie et de précision.
Mea culpa, je le sais. Je regrette déjà amèrement l'esquisse du sentiment de malaise que la mauvaise interprétation d'un billet lancé sur simple saute d'humeur a pu ne serait-ce qu'initier dans vos esprits et celui de notre groupe.
Vous et le projet êtes justement la bouffée d'oxygène ( Et un peu de Co2 tout de même, hein ! Lol )dans le marasme de mes petits jours pas toujours évident à gérer...
J'ai hâte de vous retrouver pour mieux vous expliquer.
Rien ne vaut le réelle communication.
Monday, December 08, 2008
Amoureux !
Il s'appelle Nicolas.
Il a trente ans.
Il habite à Poitiers.
J'adore son nez et ses petits yeux verts derrière ses lunettes...
Il a trente ans.
Il habite à Poitiers.
J'adore son nez et ses petits yeux verts derrière ses lunettes...
Cendrillon, ce macho !
La première représentation est passée.
Les craintes et le stress liés aux impératifs de la production et aux différents retards accumulés à plusieurs niveaux ( costumes, décors, chorégraphies, etc... ) sont levés ! En trois soirs, le spectacle s'est déjà fait une solide petite réputation et la reprise de l'an prochain semble assurée.
Les critiques sont dithyrambiques et nos personnages s'enrichissent à chaque nouveau levé de rideau.
Moi qui pensais sans doute avoir du mal avec la longueur de la série de représentations vu mon humeur maussade de ces derniers temps, je me surprends à m'amuser bien davantage que je ne l'aurais espéré.
Cela étant, je constate quand même que quelque chose semble brisé en moi. Il y a le plaisir d'être sur scène, celui d'amuser les gens par ma technique et les géniales répliques concoctées par Sébastien Ministru, la joie des compliments d'après spectacle, mais malgré cela, j'ai l'impression qu'une partie de moi s'est éteinte. J'ai fait face et combattu l'idée un bon moment, pensant que le retour de Paris et la réintroduction dans le monde bruxellois allaient aider ma tête et mon corps à aller mieux, mais en réalité je suis obligé d'admettre que le sentiment de tristesse insidieux certes mais assez fort pour m'alourdir le coeur est toujours bien présent. Serait-ce ça qu'on appelle la dépression ? Cette constante petite voix qui dans chaque chose que l'on fait nous rappelle qu'on y prend pas de plaisir, que l'on pourrait réellement faire mieux, et être plus en accord avec soi-même ?
L'important c'est d'avancer et de continuer à croire en ses rêves et envies, naturellement... Or, j'ai l'impression de n'avoir plus envie de rien justement. Rien d'autre que d'être recroquevillé sous une couette dans le canapé devant un film de série B...
Les craintes et le stress liés aux impératifs de la production et aux différents retards accumulés à plusieurs niveaux ( costumes, décors, chorégraphies, etc... ) sont levés ! En trois soirs, le spectacle s'est déjà fait une solide petite réputation et la reprise de l'an prochain semble assurée.
Les critiques sont dithyrambiques et nos personnages s'enrichissent à chaque nouveau levé de rideau.
Moi qui pensais sans doute avoir du mal avec la longueur de la série de représentations vu mon humeur maussade de ces derniers temps, je me surprends à m'amuser bien davantage que je ne l'aurais espéré.
Cela étant, je constate quand même que quelque chose semble brisé en moi. Il y a le plaisir d'être sur scène, celui d'amuser les gens par ma technique et les géniales répliques concoctées par Sébastien Ministru, la joie des compliments d'après spectacle, mais malgré cela, j'ai l'impression qu'une partie de moi s'est éteinte. J'ai fait face et combattu l'idée un bon moment, pensant que le retour de Paris et la réintroduction dans le monde bruxellois allaient aider ma tête et mon corps à aller mieux, mais en réalité je suis obligé d'admettre que le sentiment de tristesse insidieux certes mais assez fort pour m'alourdir le coeur est toujours bien présent. Serait-ce ça qu'on appelle la dépression ? Cette constante petite voix qui dans chaque chose que l'on fait nous rappelle qu'on y prend pas de plaisir, que l'on pourrait réellement faire mieux, et être plus en accord avec soi-même ?
L'important c'est d'avancer et de continuer à croire en ses rêves et envies, naturellement... Or, j'ai l'impression de n'avoir plus envie de rien justement. Rien d'autre que d'être recroquevillé sous une couette dans le canapé devant un film de série B...
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